2006, démarrage lent, été chaud et septembre humide

Une année de tous les extrêmes ! Avril fut un mois très arrosé provoquant des glissements de terrains dans les vignes. En mai et juin, le thermomètre resta bloqué dans sa bulle. Il fallut un juillet chaud pour que la vigne comble son retard. Ces conditions humides ont fortement favorisé les maladies (mildiou). De plus, août humide et septembre chaud sont deux paramètres induisant le développement de pourriture (botrytis). Heureusement, le soleil fut de la partie et nous permit de récolter rapidement nos parchets. La pourriture menaçait et, sans vigilance, pouvait détruire totalement la récolte. Un tri sérieux des raisins les plus sains était indispensable afin de séparer le bon grain de l’ivraie. Les rendements au mètre carré ont été maîtrisés et s’inscrivent dans la norme malgré une petite perte due au tri méticuleux.